Nous avons une idée d’un avenir assuré car nous pensons qu’il y en a un mais pour la première fois se pose la question de l’avenir de l’espèce humaine ainsi que des autres espèces vivantes.

L’espèce humaine ne représente qu’une petite partie des espèces vivantes et a pourtant colonisé la planète, les hommes sont notamment en train de faire mourir les espèces animales présentes sur terre. En un an, environ 9 millions d’animaux ont disparu.
Prémices de ce qui peut nous arriver ?

Un autre exemple, l’Amazonie, qui perd, par jour, la taille de 8 à 9 terrains de foot.
Les hommes "augmentent" mais "rétrécissent" la Terre.
Dans 10 ans, les scientifiques prévoient plusieurs millions de migrations qui entraîneront alors des conflits majeurs. Pour l’instant nous sommes dans un climat tempéré ce qui fait que nous ne nous rendons pas compte de la gravité des choses. Comme nous voyons les choses de manière "petite" et "non grande" nous avons du mal à prévoir.

L’écologie à long terme est un problème presque insoluble, ainsi, un problème comme la Covid, occulte les autres problèmes.
L’avenir de la planète est un problème planétaire, cependant les politiciens en parlent très peu.
La survie de l’humanité est un problème nouveau, donc on ne peut pas chercher d’expériences passées.
De plus notre extinction serait causée par nos activités.

Mais que peut-on faire ?

La mort de la planète est prévue à court terme. Dans environ 30 ans ?
La Terre aussi produit de l’oxygène. Quand on plante un arbre, cela a peu d’impact par rapport à la déforestation de la forêt amazonienne (terre brûlée).

Face à cela on peut avoir différentes réactions :
– « Je m’en fiche »
– « Il faut résoudre la technique des Accords de Paris »
– « Il faut changer le système, les intérêts privés qui menacent l’intérêt de l’humanité »